Seba Calfuqueo, Alka Domo, 2017 © Seba Calfuqueo
« Avec cette dernière étape du programme d’expositions itinérantes de la 34e Bienal de São Paulo, la Fundação Bienal est heureuse de faire venir pour la première fois en France une sélection d’œuvres d’art issues d’une édition aussi mémorable. Le partenariat avec une institution d’avant-garde telle que LUMA Arles nous permet de toucher un public plus large, conformément à notre mission de démocratisation de l’accès à l’art, et dynamise les programmes des deux institutions par la myriade de rencontres qu’il favorise. »
José Olympio da Veiga Pereira, président de la Fundação Bienal de São Paulo
José Olympio da Veiga Pereira, président de la Fundação Bienal de São Paulo
Jaider Esbell, Carta ao velho mundo [Letter to the Old World], 2021 © Flávio Cabral / Fundação Bienal de São Paulo
LUMA Arles et la Fundação Bienal de São Paulo annoncent la prochaine exposition présentant les points forts de la 34e Bienal de São Paulo.
L’exposition dévoilera pour la première fois en France une sélection d’œuvres de praticiens contemporains majeurs du monde entier. Elle donnera à voir certains des concepts les plus novateurs créés par des artistes contemporains d’aujourd’hui, ainsi que des œuvres d’artistes établis de ces dernières décennies.
La 34e Bienal de São Paulo s’est imposée dans une volonté de diversité et de versatilité, offrant une véritable polyphonie de créations artistiques. Tout d’abord présentée dans les principaux lieux d’exposition de São Paulo, différentes itérations ont ensuite été proposées dans d’autres villes, à São Luís (MA), Campinas (SP), São José do Rio Preto (SP), Campos do Jordão (SP), Belo Horizonte (MG), Fortaleza (CE), Belém (PA), Rio de Janeiro (RJ) et Santiago (Chili).
Même dans la pénombre, je chante encore, Œuvres de la 34e Bienal de São Paulo symbolise la première exposition de la Bienal à se dérouler en Europe et en France.
Présentée aux Forges à LUMA Arles, la sélection d’œuvres soulève des questions de perception, de transformation, et interroge la manière dont différentes réalités peuvent coexister, à travers une pluralité de médias, dont des installations, expériences sonores, peintures, vidéos, photographies et lettres.
Structurée autour d’une série de contributions, Même dans la pénombre, je chante encore, Œuvres de la 34e Bienal de São Paulo met en lumière les œuvres de quatorze artistes originaires de sept pays, qui viennent dialoguer et se font l’écho de récits politiques, de questions post colonialistes, de préoccupations environnementales et de cosmologies indigènes.
Les expositions itinérantes de la 34e Bienal de São Paulo sont nées d’une série de « contributions » sélectionnées par l’équipe curatoriale. Les Portraits de Frederick Douglass, La Ronde de Mort [A Ronda da Morte] par Hélio Oiticica, La Cloche d’Ouro Preto et Chants Tikmū’ūn ponctuent l’exposition et fonctionnent comme des structures conceptuelles. Objets immatériels ou récits captivants qui rassemblent œuvres et artistes, ces « contributions » visent à proposer de nouvelles lectures des œuvres, tout en donnant le ton, nous invitant à voyager dans le temps et dans l’espace.
L’exposition dévoilera pour la première fois en France une sélection d’œuvres de praticiens contemporains majeurs du monde entier. Elle donnera à voir certains des concepts les plus novateurs créés par des artistes contemporains d’aujourd’hui, ainsi que des œuvres d’artistes établis de ces dernières décennies.
La 34e Bienal de São Paulo s’est imposée dans une volonté de diversité et de versatilité, offrant une véritable polyphonie de créations artistiques. Tout d’abord présentée dans les principaux lieux d’exposition de São Paulo, différentes itérations ont ensuite été proposées dans d’autres villes, à São Luís (MA), Campinas (SP), São José do Rio Preto (SP), Campos do Jordão (SP), Belo Horizonte (MG), Fortaleza (CE), Belém (PA), Rio de Janeiro (RJ) et Santiago (Chili).
Même dans la pénombre, je chante encore, Œuvres de la 34e Bienal de São Paulo symbolise la première exposition de la Bienal à se dérouler en Europe et en France.
Présentée aux Forges à LUMA Arles, la sélection d’œuvres soulève des questions de perception, de transformation, et interroge la manière dont différentes réalités peuvent coexister, à travers une pluralité de médias, dont des installations, expériences sonores, peintures, vidéos, photographies et lettres.
Structurée autour d’une série de contributions, Même dans la pénombre, je chante encore, Œuvres de la 34e Bienal de São Paulo met en lumière les œuvres de quatorze artistes originaires de sept pays, qui viennent dialoguer et se font l’écho de récits politiques, de questions post colonialistes, de préoccupations environnementales et de cosmologies indigènes.
Les expositions itinérantes de la 34e Bienal de São Paulo sont nées d’une série de « contributions » sélectionnées par l’équipe curatoriale. Les Portraits de Frederick Douglass, La Ronde de Mort [A Ronda da Morte] par Hélio Oiticica, La Cloche d’Ouro Preto et Chants Tikmū’ūn ponctuent l’exposition et fonctionnent comme des structures conceptuelles. Objets immatériels ou récits captivants qui rassemblent œuvres et artistes, ces « contributions » visent à proposer de nouvelles lectures des œuvres, tout en donnant le ton, nous invitant à voyager dans le temps et dans l’espace.
Amie Siegel, Asterisms, 2020 © Courtesy the artist and Thomas Dane Gallery. Photo: Everton Ballardin
Le titre de la 34e Bienal de São Paulo, ‘‘Faz escuro mas eu canto’’ [Même dans la pénombre, je chante encore], est un vers du poète brésilien Thiago de Mello.
Commissariat de Jacopo Crivelli Visconti, commissaire en chef de la 34e Bienal de São Paulo et Vassilis Oikonomopoulos, directeur des expositions et des programmes à LUMA Arles
Même dans la pénombre, je chante encore fait partie du programme itinérant de la Bienal.
L’exposition est produite et organisée par LUMA Arles et la Fundação Bienal de São Paulo, avec le soutien de la Fondation ENGIE.
La Fundação Bienal de São Paulo est soutenue par Itaú ; Instituto Vale ; Instituto Votorantim ; Bloomberg ; Bahia Asset ; Unipar ; Sesc ; Alupar ; EMS ; Rede D’or ; XP ; CSN ; B3 ; Verde Asset; JP Morgan ; Iguatemi São Paulo ; Osklen ; JHSF ; Credit Suisse ; Iochpe-Maxion ; Klabin ; JSL; BR Partners ; Mattos Filho ; Racional ; Ageo Terminais ; Grupo Ultra ; Singulare ; Hermes Pardini ; Banco ABC ; Rodobens.
Commissariat de Jacopo Crivelli Visconti, commissaire en chef de la 34e Bienal de São Paulo et Vassilis Oikonomopoulos, directeur des expositions et des programmes à LUMA Arles
Même dans la pénombre, je chante encore fait partie du programme itinérant de la Bienal.
L’exposition est produite et organisée par LUMA Arles et la Fundação Bienal de São Paulo, avec le soutien de la Fondation ENGIE.
La Fundação Bienal de São Paulo est soutenue par Itaú ; Instituto Vale ; Instituto Votorantim ; Bloomberg ; Bahia Asset ; Unipar ; Sesc ; Alupar ; EMS ; Rede D’or ; XP ; CSN ; B3 ; Verde Asset; JP Morgan ; Iguatemi São Paulo ; Osklen ; JHSF ; Credit Suisse ; Iochpe-Maxion ; Klabin ; JSL; BR Partners ; Mattos Filho ; Racional ; Ageo Terminais ; Grupo Ultra ; Singulare ; Hermes Pardini ; Banco ABC ; Rodobens.
Info+
Même dans la pénombre, je chante encore,
Œuvres de la 34e Bienal de São Paulo à LUMA Arles
Du 16 décembre 2022 au 5 mars 2023
LUMA Arles
Parc des Ateliers, Les Forges
35 avenue Victor Hugo,
13200 Arles
La Tour et les expositions situées dans les bâtiments historiques sont ouvertes du mercredi au lundi de 10 h à 18 h.
Entrée libre (sur réservation
Œuvres de la 34e Bienal de São Paulo à LUMA Arles
Du 16 décembre 2022 au 5 mars 2023
LUMA Arles
Parc des Ateliers, Les Forges
35 avenue Victor Hugo,
13200 Arles
La Tour et les expositions situées dans les bâtiments historiques sont ouvertes du mercredi au lundi de 10 h à 18 h.
Entrée libre (sur réservation